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La Voie de la Rose et le Revéil des Prétresses

  • Photo du rédacteur: Isayä Shamanka
    Isayä Shamanka
  • 19 juil.
  • 2 min de lecture
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Je vous accueille aujourd’hui sur la voie silencieuse et ardente de la Rose. Cette voie ancienne est celle du cœur, du service sacré, de la résurrection intérieure. Elle est la voie de Marie-Madeleine, des prêtresses du Temple, des mystères esséniens. Elle est la voie du souvenir, du retour à la Source à travers l’énergie du Féminin sacré — doux, vaste, radicalement guérisseur.


La Rose est plus qu’une fleur. Elle est un archétype spirituel vivant, une géométrie sacrée qui porte les mémoires de la Terre, de l’Amour et de la Sagesse Divine. Elle représente la voie du cœur, de la vulnérabilité courageuse, de l’ouverture sans défense. Dans chaque pétale, réside un enseignement sur la cyclicité, la beauté, le mystère, la mort et la renaissance.


Dans les anciennes écoles de mystères — en Égypte, en Judée, en Avalon — la Rose était le symbole des initiées du Féminin Divin. Les prêtresses de la Rose servaient le temple de la lumière christique, non comme une religion, mais comme une fréquence d’Amour pur, d’union sacrée entre matière et esprit.



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Marie-Madeleine fut l’une de ces grandes initiées. À tort nommée pécheresse, elle fut en vérité la Gardienne du Saint Graal, la détentrice du feu du cœur. Elle incarnait l’union du féminin et du masculin en elle-même. Elle enseignait non pas des dogmes, mais une voie vibratoire d’éveil, celle de la guérison des mémoires, de la transmutation des blessures par l’Amour, du corps comme temple sacré.


Les prêtresses de la Rose ne prêchent pas : elles rayonnent. Elles n’imposent pas : elles offrent. Par leur présence, elles réactivent les codes de guérison dans les cœurs prêts à s’ouvrir.


Dans l’énergie christique, le cœur est roi. L’énergie christique n’est pas un dogme religieux, c’est une fréquence d’unité, de pardon, de compassion totale, où l’ombre est aimée, transmutée, intégrée. C’est le Feu de la Rose qui embrase sans brûler, qui purifie sans juger. C’est l’Art de marcher entre les mondes avec les pieds dans la Terre et le front baigné de lumière.


Nous sommes appelées, aujourd’hui, à réactiver les Mystères oubliés, à recontacter la sagesse matricielle, à honorer le corps féminin comme sanctuaire vivant de la Source.


Marcher sur la Voie de la Rose, c’est :

•⁠ ⁠guérir les blessures du féminin blessé

•⁠ ⁠embrasser nos cycles, nos eaux, notre voix

•⁠ ⁠se relier à la lignée des prêtresses et des mères

•⁠ ⁠éveiller notre temple utérin et la mémoire spirituelle de notre chair

•⁠ ⁠incarner l’Amour non comme émotion, mais comme état d’Être



Je vous invite à écouter la Rose en vous. Elle murmure. Elle vous appelle à la lenteur, à la douceur, à la présence. Elle vous tend un chemin de souveraineté, de service, d’amour divin incarné.


Et comme le disaient les anciens :

"La Rose s’ouvre à celui qui est prêt à mourir à son passé pour renaître dans l’Amour."


Merci. Que la Rose vous guide.

 
 
 

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